Immersion au Copenhagen Marathon 2025 – Quand performance, découverte et authenticité s’entrelacent
Chaque année, le Copenhagen Marathon rassemble des milliers de coureurs venus du monde entier, prêts à fouler le bitume de la capitale danoise dans une ambiance chaleureuse et électrisante.
En 2025, cet événement s’est imposé comme un rendez-vous incontournable du calendrier running.
Il combine un parcours rapide idéal pour battre ses records personnels et une immersion culturelle riche au cœur d’une ville qui allie modernité, histoire et engagement écologique.
Mais le Copenhagen Marathon 2025, c’est bien plus qu’une simple course : c’est une aventure humaine, sportive et touristique au cœur d’une ville cosmopolite.
Là où chaque foulée résonne avec la passion, le partage et la convivialité. Que vous soyez un athlète expérimenté ou un passionné amateur, préparez-vous à vivre une expérience unique.
Le tout rythmé par le cliquetis des chaussures, la chaleur des encouragements et la douceur d’un cadre nordique à la fois authentique et moderne.
Ce reportage vous plonge dans les coulisses de ce marathon d’exception, depuis l’effervescence du salon expo, jusqu’à la magie des rues de Copenhague, avant, pendant et après la ligne d’arrivée.
Tourisme sportif & Eco-Responsabilité autour du Copenhagen Marathon
Avant la course – Arrivée, découverte et préparation
Arrivée à Copenhague et premières impressions
Atterrir à Copenhague, c’est d’emblée respirer un air frais et accueillant. La ville, réputée pour sa propreté, son vélo omniprésent et ses espaces verts, offre un cadre apaisant et inspirant pour un coureur.
Flâner dans les rues pavées du centre, au rythme des vélos, c’est plonger dans un mélange subtil entre modernité et charme historique.
Visite touristique entre musées, parcs et quartiers iconiques
Avant la course, le temps est idéal pour découvrir les trésors de la ville :
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Nyhavn, avec ses maisons colorées emblématiques et ses bateaux amarrés, est un incontournable.
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Le parc Tivoli Gardens, qui est l’un des plus anciens parcs d’attractions au monde, offre un mélange parfait de détente et de culture.
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La balade à vélo jusqu’à la statue de la Petite Sirène permet de s’imprégner de la légende danoise.
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Le quartier Christianshavn, avec ses canaux et ses cafés branchés, respire la vie locale.
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Pour les passionnés d’art et d’histoire, le Musée National du Danemark et la Glyptothèque Ny Carlsberg sont des visites à ne pas manquer.
Ces moments d’exploration sont aussi un bon moyen de se préparer mentalement et physiquement, en évitant le stress et en s’oxygénant.
Le salon expo du Copenhagen Marathon 2025 – Un avant-goût de la course
Le Marathon de Copenhague 2025 se distingue par l’excellence de son salon expo situé au cœur de la ville, facilement accessible en métro.
Ce salon est une véritable caverne d’Ali Baba pour les coureurs :
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Retrait des dossards fluide et bien organisé, avec des équipes volontaires très sympathiques.
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Présentation des dernières innovations : chaussures de running, textiles techniques, nutrition sportive, gadgets connectés.
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Workshops et conférences animés par des experts du running, donnant des conseils pratiques pour optimiser la performance et la récupération.
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Ambiance chaleureuse et festive, avec la présence d’athlètes élites accessibles au public.
Les coureurs se croisent, échangent leurs stratégies, leur motivation est palpable, et la ville se met à vibrer doucement au rythme de l’événement.
Copenhagen Marathon – Une course au cœur de la capitale danoise
Le parcours, technique et pittoresque
Le marathon se déroule sur un tracé plat et rapide, parfaitement adapté à la quête d’un chrono performant, mais aussi à la découverte des quartiers majeurs de Copenhague :
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Le départ se fait à Islands Brygge, un secteur en bord de mer très apprécié des locaux.
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Rapidement, la course traverse Østerbro, un quartier résidentiel calme, offrant des vues sur le parc Fælledparken, poumon vert de la ville.
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Ensuite, cap sur Nørrebro, quartier multiculturel et vibrant, ponctué de street art et de petites boutiques indépendantes.
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Vesterbro, ancien quartier ouvrier devenu branché, invite à ressentir l’énergie urbaine.
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La boucle inclut aussi Frederiksberg, avec ses larges avenues et son jardin botanique.
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Les coureurs longent les canaux de Christianshavn avant de revenir à Islands Brygge pour une arrivée intense sous les acclamations.
L’ambiance sur la course
La course est soutenue par plus de 100 000 spectateurs venus encourager les participants, créant une ambiance euphorique.
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Musiciens, DJ’s et groupes de percussions jalonnent le parcours.
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Des animations ponctuent certains quartiers, donnant des ailes aux coureurs fatigués.
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Les bénévoles sont omniprésents, distribuant eau, gels, et sourires.
La météo douce (environ 11-14°C) est idéale pour la performance, et le vent faible limite les aléas.
Stratégies et sensations
Le parcours, essentiellement plat, favorise les tentatives de record personnel. Les zones de ravitaillement sont bien espacées, évitant toute pénurie.
Les coureurs doivent gérer leur effort, tout en profitant des points d’intérêt. La ville se dévoile à chaque foulée, rendant l’effort moins monotone.
Résultats du Copenhagen Marathon 2025
Hommes
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Berhane Tesfaye (Érythrée) : 1er en 2h08’25, à seulement deux secondes du record de l’épreuve
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Vincent Mutai (Kenya) : 2e en 2h09’09
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Yismaw Atinafu (Éthiopie) : 3e en 2h10’32
Femmes
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Sharon Kiptugen (Kenya) : 1ère en 2h23’19, manquant le record de l’épreuve de 5 secondes
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Sofia Assefa (Éthiopie) : 2e en 2h26’21
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Abebech Afework (Éthiopie) : 3e en 2h28’37
Chez les Français :
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Alexis Garod : 9e en 2h21’02
Chez les Danois :
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Mikael Johnsen : 10e en 2h16’56
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Andreas Lommer : 11e en 2h17’28
Tous les résultats – ICI
Jour d’après Copenhagen Marathon – Récupération et immersion post-course
Le village des finishers
Franchir la ligne d’arrivée à Islands Brygge, c’est basculer dans une autre ambiance : la fête du dépassement de soi.
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Zone de récupération confortable, avec étirements, massages et restauration adaptée.
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Possibilité de se rafraîchir dans les eaux du port, une tradition locale qui fait un bien fou.
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Rencontre avec d’autres coureurs pour partager ses impressions.
Découvrir la gastronomie danoise
Après la course, il est temps de découvrir les saveurs locales :
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Les restaurants de Copenhague proposent une cuisine saine et raffinée, avec des produits de la mer et de la terre.
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Ne pas manquer les célèbres « smørrebrød », tartines ouvertes garnies de poisson fumé, viande ou légumes.
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Pour les gourmands, le « rødgrød med fløde » (dessert aux baies rouges et crème) est un must.
Flâner au bord des canaux et dans les quartiers historiques
La récupération passe aussi par la découverte douce des quais, les cafés en terrasse, ou une croisière sur les canaux. Une invitation à ralentir le rythme et à savourer.
Copenhagen Marathon – Un engagement écoresponsable
En 2025, le marathon renforce ses actions pour minimiser son impact écologique :
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Plus de 90% des déchets sont recyclés ou compostés.
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Les gobelets sont 100% biodégradables, et la plupart des bouteilles remplacées par des fontaines d’eau potable.
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Le transport des coureurs et du matériel se fait via des véhicules électriques.
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Sensibilisation des participants à la protection de l’environnement.
Ces initiatives renforcent l’image moderne et responsable de l’événement, en phase avec la philosophie de la ville.
Race Report – Copenhagen Marathon 2025
Un marathon d’émotions, de résilience et de promesses tenues
Le Copenhague Marathon 2025 ne ressemble à aucun autre. Ce dimanche, j’ai vécu une course marquée par la douleur, la détermination et un engagement plus fort que la souffrance.
Ce récit, c’est celui d’une bataille intérieure, entre abandon et ténacité, sur un parcours pourtant propice à la performance et traversé par une ambiance incroyable.
Le départ et les premiers kilomètres – Des bases solides, un tempo maîtrisé
Le coup de pistolet retentit, et c’est parti pour 42,195 km à travers la capitale.
Les premiers kilomètres sont fluides, le corps est en place, les sensations bonnes. J’attaque la course sur un rythme ambitieux, visant un chrono autour de 2h50.
Le premier semi passe en 1h25, conforme à mes objectifs. La ville vibre : le public est présent, chaleureux, encourageant, avec une énergie communicative qui propulse chaque foulée.
Le coup de tonnerre au km 24 – Douleur et doute
Mais alors que tout semblait sous contrôle, la douleur revient — brutale, insidieuse, mais implacable. La blessure qui me guettait depuis longtemps refait surface, irradiant du pied jusqu’à la fesse gauche.
Chaque appui devient un défi, chaque foulée un combat contre cette souffrance sourde et lancinante.
Au km 26, alors que mon hôtel est à seulement 150 mètres, la tentation de l’abandon me hante. Le mental vacille, la fatigue s’accumule, le corps envoie des signaux clairs : stop.
Pourtant, il y a cette voix intérieure, et surtout cette promesse faite à Léo : « Ramène-moi la médaille ». Alors, malgré tout, je serre les dents et continue.
Les kilomètres du cœur – Au-delà de la performance
Le second semi est une lutte, un jeu d’équilibre entre relâchement et résistance. Je lisse le rythme, accepte la douleur, et me laisse porter par l’ambiance exceptionnelle de la ville en ébullition.
Les spectateurs encouragent avec ferveur, les musiciens de rue, les drapeaux, les sourires des bénévoles… Tout contribue à repousser mes limites.
Le chrono s’affiche : 1h38 pour le second semi. Ce n’est pas un temps de performance, mais c’est la victoire sur la douleur, sur le doute, sur l’envie d’arrêter.
Je ne regarde plus ma montre, je regarde devant. Jusqu’à la ligne d’arrivée. Jusqu’à la médaille.
Après l’arrivée – Fierté, guérison et promesse d’un retour
La médaille autour du cou, c’est un mélange d’émotions qui m’envahit : soulagement, fierté, résilience. Cette course ne sera pas celle de la performance pure, mais celle de la ténacité.
Celle où j’ai plié, mais jamais rompu.
Malgré la blessure, j’ai tellement aimé ce marathon et cette effervescence unique que je reviendrai en 2026.
L’ambiance, le parcours, l’organisation impeccable… tout invite à revenir et à recommander chaudement ce marathon à tous les passionnés.
Copenhagen Marathon 2025 couru en Nike ZoomX Alphafly Next% Red
Une paire taillée pour performer… encore sur le Copenhagen Marathon 2025 !
Pour ce Copenhagen Marathon 2025, j’ai fait le choix de courir avec une paire qui m’avait déjà bluffé à Berlin : la Nike ZoomX Alphafly Next% 3 Red, dans un coloris tout feu tout flamme.
Un choix de cœur et de stratégie, car c’est Nike, partenaire officiel de la course, qui m’a permis de participer via Top4Running France, leur distributeur officiel.
Le bon compromis entre confort, dynamisme et ambition
Même blessé, je n’aurais pas pu rêver meilleure alliée. La Nike ZoomX Alphafly Next% 3 Red coche toutes les cases pour performer tout en offrant du confort.
Notamment grâce à sa mousse ZoomX ultra réactive, sa plaque carbone FlyPlate, et ses unités Air Zoom à l’avant-pied qui boostent chaque relance.
Sa légèreté (210g en taille 43) et son chaussant chaussette hyper respirant (AtomKnit) ont vraiment fait la différence sur ce parcours plat et rapide qu’offre Copenhague.
Maintien, stabilité et retour d’énergie – Mission accomplie
J’ai trouvé un très bon équilibre entre maintien et liberté, sans point de pression, avec une empeigne confortable et une toe box qui laisse de l’espace en fin de course.
La chaussure reste très stable même à allure constante, et son dynamisme est bluffant même sur les derniers kilomètres, malgré la fatigue.
Une chaussure de records… même quand le corps dit non
Ce marathon, je l’ai couru en me battant contre une blessure, mais la sensation de fluidité et de propulsion de l’Alphafly 3 Red a clairement aidé à faire la différence mentalement et physiquement.
On sent qu’elle est taillée pour les allures soutenues, avec une vraie capacité à conserver l’économie de course, même quand le chrono s’étire.
Mon verdict – Incontournable pour les longues distances
Pour moi, la Nike ZoomX Alphafly Next% 3 Red reste une référence incontournable pour les coureurs ambitieux, que ce soit pour viser un record ou pour tenir un rythme solide sur la distance.
Elle confirme à Copenhague ce qu’elle m’avait déjà prouvé à Berlin : elle sait accompagner, relancer, sécuriser… et motiver jusqu’au dernier kilomètre.
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