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RUN LIGHT Kalenji, courir la nuit en toute sécurité !

Run Light Kalenji

Trail Session a testé pour vous le Run Light de chez Kalenji. La marque, en constante progression en terme d’innovations et de qualité, ne cesse de nous étonner et c’est loin d’être fini ! …

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Nouveauté. Voila le terme qui vient naturellement lorsque l’on déballe une Run Light… Faut dire que lorsque l’on parle d’éclairage destiné à la course à pied ou aux activités outdoor, on pense immédiatement à la traditionnelle frontale. L’idée d’installer un système lumineux sur le torse à la Iron Man est certainement un pari sur l’avenir car, comme nous allons le voir, ce produit comporte d’énormes qualités mais aussi ses petits défauts.

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Run Light Kalenji

Données Techniques :

  • Poids : 250gr
  • Position : Pectorale
  • Puissance : 250 Lumens (position intermédiaire 90 et 180 Lumens)
  • Faisceau : Environ 20m de long et 5m de large.
  • Autonomie : Suivant la puissance utilisée, max 5h-6h.
  • Rechargement : Port USB.
  • Durée de vie : 500 charges-décharges.

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Alors les fans de Marvel ? On veut se prendre pour un super-héro ? Bon pour le coup, cela vous coûtera 39,90 euros, soit nettement moins cher que l’armure porté par Tony Stark dans Iron Man. Le Run Light s’enfile comme un harnais par dessus votre équipement de running très facilement grâce aux bretelles d’ajustement. Premier point, c’est un peu gênant lorsque vous voulez vous changer rapidement, faut enlever tout le bazar … Une fois ajusté, on ne sent quasiment pas le produit sur soi, c’est très seyant. Il se compose d’un projecteur a LED sur le devant et de la batterie au dos. Détail très intéressant et pratique, la batterie à l’arrière est doté d’un repérage de charge lumineux rouge, ce qui augmente votre visibilité et en plus vous permet de voir dans quel état se trouve votre Run Light (Témoin de charge de 1 à 3)L’autonomie est donné pour environ 5h à 90 Lumens et seulement 2 à 3 heures à pleine puissance, considérant que la moyenne horaire d’une séance de running est de 1h à 1h30, c’est plutôt pas mal. Passé ces 2 ou 3h, la lampe se mettra automatiquement en mode éco à 70 Lumens, pour s’éteindre au bout d’environ 1h. Le rechargement se fait par un port USB. Il est dommage que Kalenji n’ai pas prévu un étui pouvant accueillir des piles pour augmenter la durée de vie ou par un soucis de sécurité (genre vous vous êtes perdu hein … non non ça vous arrive jamais…)… Le changement de puissance se fait par pression sur un petit bouton rouge, qui permet de naviguer entre les positions (90-180-250 Lumens) suivant vos désirs. L’emplacement et la taille de ce bouton est sujet à amélioration je pense, surtout lorsque vous avez les mains bien gelées par exemple, mais il est où ce f..tu bouton ???

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2014KALENJI Run Light ambiance

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Passons à la pratique. Vous le savez, chez Trail Session, on aime bien sortir des sentiers communs… le fait que la rédac se trouve en montagne nous permet d’avoir un avis « outdoor » sur chaque produit. J’ai donc testé moi-même le Run Light en course à pied classique et bien entendu, lors d’une escapade en ski de randonnée en altitude (et ouais on ski même la nuit par chez nous deudieu !). Lors du mouvement en course, on constate une oscillation de gauche à droite suivant votre foulée, ce qui est très déstabilisant lors des premières minutes de l’entrainement, mais l’on s’y fait rapidement. Le faisceau est très large et assez long (20m de long et environ 5 de large) pour vous permettre un run en toute sécurité. Le mode 250 Lumens est même assez bluffant, ça envoi grave. Au niveau des sensations, pour ceux qui sont habitués à la frontale, c’est totalement nouveau, vous tournez la tête et… ben rien, c’est noir. On éclaire dans le sens de la poitrine et c’est facile de se faire piéger parfois. Reste que l’on a l’impression de courir avec une voiture aux fesses, on est vu et bien vu. En ce qui concerne l’utilisation en montagne, j’ai adoré. En effet, pouvoir utiliser la Run Light en plus de la frontale, c’est un luxe que j’ai trouvé immédiatement très utile. La frontale permet d’avoir un faisceau qui suit les mouvements de la tête, mais comme le savent ceux qui pratiquent le ski d’alpinisme, quand on descendça bouge de partout… (et ça tombe aussi beaucoup…)  alors avec la Run Light en support, on se gave de lumière. Et c’est fun… vous pouvez me croire. Seul bémol, l’autonomie réduite avec le froid sur la batterie, alors un petit « emballage » maison autour de celle-ci vous permettra de profiter malgré tout de sa capacité optimale malgré la neige et le gel. 

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Bon alors ? On l’achète ou pas ?

La réponse est oui ! Le Run Light comporte quelques points à améliorer comme vu plus haut mais au final, c’est une nouveauté qui mérite toute votre attention. Une adaptation rapide sera nécessaire pour les drogués de la frontale, mais au pire, vous faites comme moi, vous prenez les deux ! Une application Outdoor est aussi possible et franchement, pour 39,90 euros, ça serait dommage de faire l’impasse dessus les amis … Je valide.

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Disponible ici !

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Verdict

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[youtube]http://youtu.be/_iMgnhxSkXg[/youtube]

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TS

Grégory Julien Baron, Trail Session Magazine, 2014.

Author

▲ Cédric Masip - 41 ans ▲ 👫 Marié - 1 enfant 👦 👨‍💻 Fondateur & CEO @trail_session_magazine ⚓️ Odessa - Ukraine 🇺🇦 ⏱ 42.195km [RP] 2h46’52 🏃🏻‍♂️ Runner & Cyclist 🚴‍♂️ ⇣ My Strava ⇣ → www.strava.com/athletes/18867396 ✨ Ma Philosophie ✨ "Courir sur le chemin de la vie, le plus loin possible, le plus longtemps possible. Emprunter tous les sentiers, même les impasses, le plus important est de s’y (re)trouver".

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