Why we run ? Une étude sociologique sans précédent...

Qui ne s’est pas déjà demandé ou vu demander : Pourquoi est-ce que je / tu cours ?

Strava présente une étude inédite sur les motivations des coureurs réalisée en collaboration avec le Dr Blair Evans, dont l’expertise se concentre sur l’impact des attitudes, comportements et du bien-être sur la pratique sportive.

WHY WE RUN UNE ÉTUDE SANS PRÉCÉDENT SUR LES MOTIVATIONS DES COUREUR

25 000 athlètes Strava issus de 9 pays dont la France ont accepté de contribuer à l’étude Why We Run.

La recherche permet notamment d’identifier 5 catégories de coureurs. Que l’on ait commencé le running par passion, pour des raisons de santé, pour faire face à un coup dur ou bien pour relever un défi, certaines caractéristiques dépassent les frontières géographiques.

Pour explorer les conclusions de Why We Run de manière interactive, rendez-vous sur le mini-site dédié.

Il est possible d’y filtrer les résultats par pays, genre et tranche d’âge, de télécharger les graphiques générés mais également de découvrir des témoignages d’athlètes professionnels et amateurs.

EN FRANCE

• La culpabilité n’est pas la plus grande source de motivation (22%), en France on court plutôt pour atteindre ses objectifs (55%)
• Dans l’Hexagone, la sortie du week-end est matinale (67%), alors que les sorties en semaine se font plutôt l’après-midi (35%)
• Tout âge confondu, en France on court majoritairement avec des amis, souvent avec des collègues de travail. Même si les femmes ont tendance à courir davantage avec leur club qu’avec leurs collègues

Au-delà des motivations des coureurs, la précision de cette étude permet de mieux appréhender les habitudes des coureurs.

Ils se réveillent plus tôt, s’engagent dans des entraînements difficiles, organisent leur quotidien autour de leur pratique, mais en moyenne, ils apprécient davantage les moments d’après la course que la course en elle-même.

Et pourtant, ils continuent de courir, ce que Strava décrit comme étant le paradoxe du coureur. Pour aller plus loin, rendez-vous sur le rapport complet de l’étude en anglais